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Où vont vos dons?

Chaque don fait
une différence…

La Fondation Élan amasse des fonds pour appuyer l’Institut de réadaptation en déficience physique de Québec (IRDPQ) du CIUSSS de la Capitale-Nationale et pour soutenir les enfants, les adultes et les aînés ayant une déficience physique et sensorielle. Elle subvient aux besoins non couverts par le financement public.

Tous les dons recueillis sont redistribués et ils permettent à la Fondation de :

  • participer financièrement à l’intégration sociale et au mieux-être des usagers;
  • financer des équipements spécialisés ;
  • rehausser la technologie existante ;
  • combler les besoins prioritaires sur le plan de la recherche. 

 

Ce que nous accomplissons ensemble

Voir nos réalisations

Oui, votre don fait
une différence!

Parce qu’il servira à l’achat d’équipements spécialisés, à l’organisation d’activités d’intégration et à l’aménagement d’aires de thérapie pour l’ensemble de la clientèle;

Parce qu’il nous permet d’acheter de multiples produits et équipements adaptés tels que les orthèses, semelles orthopédiques, prothèses auditives, aides visuelles et équipements adaptés pour domicile, etc.;

Parce qu’il nous permet d’apporter un soutien au Centre interdisciplinaire de recherche en réadaptation et intégration sociale (CIRRIS) de l’Institut.

 

Voici quelques autres exemples de ce que la Fondation peut accomplir grâce à vos dons :

Environnement propice à la réadaptation et au soutien à la recherche

Chien de thérapie diplômé Mira pour assister les intervenants dans leur approche thérapeutique auprès des jeunes usagers de l’Institut.

Réaménagement et acquisition de matériel pour l’aire de thérapie en ergothérapie pour les jeunes usagers de l’Institut.

Équipement pour la salle multisensorielle de l’école Madeleine-Bergeron.

Soutien au Centre interdisciplinaire de recherche en réadaptation et intégration sociale (CIRRIS) de l’Institut.

Soutien à l’intégration sociale et à l’épanouissement dans la communauté

Nombreux projets d’activités culturelles, sportives, artistiques ou éducatives visant l’intégration sociale des usagers, en leur offrant des occasions pour développer certaines habitudes de vie et exercer leurs rôles sociaux.

Achat de « pare-chocs » adaptés pour le basketball en fauteuil roulant dans le but de favoriser la participation à des compétitions locales et provinciales pour usagers de tous âges.

Équipements spécialisés pour accélérer ou faciliter la réadaptation ou permettre le retour à la maison, au travail, aux études ou à la garderie

Vélo adapté permettant à l’ensemble des usagers d’emprunter la piste cyclable aux abords de l’Institut.

Appui financier aux usagers pour l’acquisition d’aides techniques telles que prothèses auditives, aides visuelles, orthèses, chaussures adaptées, de même que pour l’aménagement adapté du domicile.

Jeux variés sonores ou tactiles pour aider les enfants à développer des habiletés de motricités globale et fine afin de faciliter, entre autres, l’apprentissage du braille.

Matériel et jeux adaptés pour la joujouthèque des points de service Saint-Louis et Portneuf.

Comment
donner

Quelques chiffres et
faits saillants

Création de la Fondation Élan

Enfants handicapés (2019)

Usagers annuels de l’IRDPQ
Des données qui frappent l’imaginaire

Chaque année, ce sont plus de 11 000 personnes qui reçoivent les services de l’Institut de réadaptation en déficience physique de Québec (IRDPQQ) du CIUSSS de la Capitale-Nationale, dont 6 000 enfants.

Saviez-vous que… ?

En 2019, le Québec comptait plus de 36 000 enfants handicapés

16,1 % de la population de 15 ans et plus vit avec au moins une incapacité, ce qui représente quelque 1 053 350 personnes

22 % de la population canadienne a un handicap

Près de 30 % des 6,2 millions de Canadiennes et de Canadiens handicapés vivent dans la pauvreté

Selon une étude canadienne sur l’incapacité (2017)…

22% des Canadiens âgés de 15 ans et plus, soit environ 6,2 millions de personnes, avaient au moins une incapacité

Les incapacités liées à la douleur, à la flexibilité, à la mobilité et à la santé mentale étaient les types d’incapacités les plus prévalents

Parmi les personnes de 25 à 64 ans, celles qui déclaraient avoir une incapacité étaient moins susceptibles d’occuper un emploi (59 %) que celles n’ayant pas d’incapacité (80 %)

Les personnes de 25 à 64 ans ayant une incapacité plus sévère (28 %) étaient plus susceptibles de vivre dans la pauvreté

Parmi les personnes de 25 à 64 ans ayant une incapacité et vivant seules, dont les parents, la pauvreté touche les femmes de manière disproportionnée