Fondation

Notre mission
NOTRE MISSION

Soutenir les usagers de l’Institut de réadaptation en déficience physique de Québec (IRDPQ) du CIUSSS de la Capitale-Nationale, voilà le cœur de notre mission!

Les dons amassés par la Fondation Élan permettent d’améliorer l’offre de service de l’IRDPQ du CIUSSS de la Capitale-Nationale en finançant les équipements spécialisés, le réaménagement d’aires de thérapie ainsi que certains projets de recherche en plus de financer des aides techniques pour des usagers démunis financièrement.  Plus de 11 000 personnes reçoivent les services de l’IRDPQ annuellement.

 

APPRENDRE • AUTONOMIE • ADAPTATION • S’ÉPANOUIR • COMPRENDRE • COURAGE • DÉFI • DONNER • ENTRAIDE • ÉQUILIBRE • ESPOIR • ENTENDRE • SENTIR • VOIR • MARCHER • INTÉGRATION • MANGER • BESOIN • SOUTIEN • SORTIR • PARTICIPER • PARTAGE

Tous ces mots sont intimement liés à la mission de l’IRDPQ et à sa fondation.

Les mots font partie de notre langage et de notre quotidien. On les tient pour acquis, on les prononce sans même y penser, on joue avec eux, etc. Aussi, parfois, on oublie que, sans lien entre eux, ils demeurent anodins. Manger, par exemple, correspond à un besoin de la vie courante auquel les gens ont habituellement accès ; manger est un geste, une action, une réalité définie et si simple. Manger peut aussi devenir un défi de taille, au même titre que parler, marcher, entendre ou voir, lorsque toute la complexité de l’être humain se dévoile. C’est alors qu’il faut s’accrocher à d’autres mots comme courage, détermination, persévérance, soutien, adaptation et réadaptation.

La vérité est que ces mots d’exception prennent tout leur sens quand ils donnent vie aux efforts de tous les jours. Bien du courage est nécessaire pour faire quelques pas et il faut être très déterminé pour s’exprimer en paroles. Les réalités se trouvent inversées, mais les défis sont loin d’être impossibles à relever.

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Chaque dollar amassé fait une différence concrète dans le quotidien des personnes qui fréquentent l’Institut de réadaptation en déficience physique de Québec.

Historique
NOTRE HISTORIQUE

La Fondation poursuit sa mission à travers sa fusion

La Fondation Élan est née de la fusion de la Fondation Cardinal-Villeneuve et de la Fondation de l’Institut de réadaptation en déficience physique de Québec (Institut). Cette initiative visait à optimiser les ressources des deux fondations afin de répondre aux besoins des enfants, des adultes et des aînés vivant avec des limitations fonctionnelles physiques permanentes acquises dès la naissance ou à la suite d’un accident de la route, du travail ou encore d’une maladie.

L’Institut de réadaptation en déficience physique de Québec (IRDPQ) est issu de la fusion de quatre centres de réadaptation en déficience physique de la région de Québec. Créé en octobre 1996, l’IRDPQ s’appuie sur la longue tradition d’excellence de ses centres d’origine :

Le Centre
Cardinal-Villeneuve

Le Centre Cardinal-Villeneuve existait depuis 60 ans comme institution vouée à « l’enfance handicapée physique » sur le plan moteur. Jusqu’en 1969, cet établissement a joué son rôle dans le cadre d’activités particulièrement axées sur la scolarisation auxquelles s’ajoutaient des interventions de réadaptation.

En 1970, il obtenait le statut de centre d’accueil de réadaptation qui l’a orienté vers une mission spécifique d’adaptation-réadaptation pédiatrique en déficience motrice pour l’Est-du-Québec, principalement après le transfert de la responsabilité des services pédagogiques à la Commission scolaire de Sainte-Foy, en 1979. L’école spécialisée a quitté les murs de l’établissement en 1987 pour être relocalisée à Sainte-Foy, à l’école Madeleine-Bergeron.

Le Centre
François-Charon

Le Centre François-Charon a vu le jour en 1964. Jusqu’en 1974, il a été un centre affilié à la Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) et dédié à la clientèle accidentée du travail. Il offrait principalement des services de rééducation fonctionnelle en physiothérapie et en ergothérapie.

En 1974, l’établissement est devenu un centre hospitalier de réadaptation. Il y eut alors ouverture à toutes les clientèles ayant besoin de réadaptation et provenant de l’Est-du-Québec. Aux services de physiothérapie et d’ergothérapie s’ajoutaient des services psychosociaux, d’orthophonie, d’éducation physique, d’orientation professionnelle et de nursing. En 1979, le Centre a reçu le statut de centre d’accueil de réadaptation et a complété sa gamme de services en intégration sociale aux adultes ayant une déficience motrice. En mai 1995, le ministère de la Santé et des Services sociaux l’a désigné « Institut universitaire de réadaptation et d’intégration sociale ».

Le Centre
Louis-Hébert

Le Centre Louis-Hébert a été créé en 1971. Il avait pour mandat l’hébergement dans le but d’assurer des services aux personnes adultes ou âgées ayant une déficience visuelle. En 1976, s’est ajouté un mandat de réadaptation pour les enfants, puis pour les adultes et les aînés. Tout en desservant l’Est-du-Québec, il a participé activement au développement de services de réadaptation en déficience visuelle dans ce territoire.

L’Institut des sourds
de Charlesbourg

L’Institut des sourds de Charlesbourg (rebaptisé Centre Dominique-Tremblay peu avant la fusion) a ouvert ses portes en 1960. C’était alors un pensionnat-école de 250 places pour jeunes garçons sourds de l’Est-du-Québec. Sous la responsabilité des Clercs de Saint-Viateur, l’établissement offrait aussi divers services tels que des loisirs et l’apprentissage au travail.

En 1972, un nouveau statut de centre d’accueil de réadaptation ainsi que l’arrivée d’une nouvelle clientèle mixte ont provoqué le développement de familles d’accueil et la création d’unités internes, puis de foyers de groupes intégrés à la communauté. Ces derniers ont été fermés définitivement en 1994. À noter qu’à partir de 1982, le volet scolarisation a été entièrement assumé par la Commission scolaire de Charlesbourg. L’école spécialisée a quitté les murs de l’établissement en 1985 pour être relocalisée à l’école Joseph-Paquin à Charlesbourg.

Vidéo

Un témoignage en images qui va droit au cœur. Magalie, synonyme de joie de vivre

Née de manière prématurée en arrêt cardiaque, la jeune Magalie était en plus atteinte d’un syndrome qui l’empêchait de s’alimenter. Sa maman nous livre un touchant témoignage en nous racontant le cheminement de sa fille, usagère de l’IRDPQ. Découvrez son histoire remplie d’espoir.